Bonjour, un des participants des soirées câlins m’a interpellé sur le terme « câlin platonique », qui, pour lui, signifie sans contact charnel. Cela lui semblait donc contradictoire avec nos soirées câlins.
Nous avons donc eu un chouette partage, et il m’a semblé intéressant de partager et de préciser ce que je mets derrière le mot « câlin platonique ».
Des câlins platoniques désignent des étreintes ou des gestes d’affection qui ne comportent aucune intention romantique ou se:xue:lle. Ce sont des câlins qui expriment de la tendresse, du réconfort, de l’amitié ou un lien émotionnel profond, sans dimension sensue:lle. Par exemple, un câlin entre ami·es, entre membres d’une famille ou même dans un cadre de bien-être (comme un câlin thérapeutique) peut être qualifié de platonique. C’est une belle manière de nourrir la connexion humaine sans impliquer d’attirance physique ou de désir.
Concernant les câlins platoniques, Platon ne les évoque pas directement. Cependant, dans sa vision de l’amour, les contacts physiques ne sont pas nécessairement un obstacle à la spiritualité, tant qu’ils s’inscrivent dans une démarche qui va au-delà du simple plaisir sensuel pour atteindre une forme d’élévation de l’âme.
Comment cela résonne-t-il en vous ?